Un nouveau sondage d’opinion publique majeur montre que malgré des décennies de campagnes militantes agressives et trompeuses, la plupart des Canadiens sont toujours d’accord avec l’utilisation de la fourrure et d’autres matériaux naturels pour les vêtements, mais sont de plus en plus préoccupés par les coûts environnementaux des synthétiques à base de pétrole que les militants adorent promouvoir. . comme « végétalien ».
L’enquête auprès de 1 500 Canadiens a été commandée par la Natural Fibers Alliance et menée en août 2022 par Abacus Data, un important cabinet-conseil en affaires publiques et en études de marché.
VOIR : Opinion publique canadienne sur l’élevage du vison et l’utilisation de la fourrure, et Opinion publique sur la fourrure et le vison au Canada. Par Abacus Data, août 2022.
La recherche contredit complètement les affirmations des activistes animaliers selon lesquelles la fourrure n’est plus socialement acceptable. En fait, les deux tiers (65 %) des Canadiens croient que le port de la fourrure est acceptable tant que l’industrie est bien réglementée et que les animaux sont traités avec humanité. Seulement un Canadien sur cinq (21 %) n’est pas d’accord, et seulement 10 % se disent « fortement en désaccord ».
Plus des trois quarts (77 %) des Canadiens croient également que porter de la fourrure est une question de choix personnel. – réfutant les affirmations des militants selon lesquelles le public soutient leur appel à l’interdiction de la fourrure. (Politiciens, prenez note !)
Sept Canadiens sur dix (71 %) conviennent également que les vêtements d’extérieur sont une nécessité dans de nombreux pays et que la fourrure naturelle est une option durable en matière de vêtements d’extérieur.
Il est fascinant de voir que, malgré des années de propagande militante contre l’élevage de visons, 35% des Canadiens ont une opinion positive du secteur alors que 25% sont « neutres »et seulement 21% ont une opinion négative – dont seulement 10 % sont « très négatifs » – sur l’élevage de visons. (18% ont le sentiment de ne pas en savoir assez pour se forger une opinion).
Encourageant pour les éleveurs de visons

Les éleveurs de visons seront également encouragés à apprendre que les jeunes ont tendance à avoir plus loin vue positive de votre secteur : 41% des 18-29 ans ont une vision positive de l’élevage de visons.contre 35 % des personnes âgées de 30 à 60 ans et 25 % des personnes âgées de 60 ans et plus. Une fois de plus, ces conclusions contredisent complètement les affirmations des militants selon lesquelles l’avenir leur appartient.
De fortes pluralités de Canadiens croient également que le Le secteur de l’élevage de visons soutient les communautés rurales (41% ; contre 8% qui ne sont pas d’accord) ; Qu’est que c’est écologiquement durable (38% ; contre 12% qui ne sont pas d’accord) ; et prends soin de toi maintenir la santé et le bien-être des animaux (37 % ; contre 16 % qui ne sont pas d’accord). Environ un Canadien sur cinq est « neutre » sur ces questions, tandis que les autres pensent qu’ils n’en savent pas assez pour exprimer une opinion.
Plus largement, cette étude démystifie complètement les affirmations des militants selon lesquelles le public souscrit à leur programme végétalien et sans animaux. Malgré tout le tapage que nous voyons ces jours-ci sur les produits végétaliens et les options de menu végétalien, 96 % des Canadiens sont toujours ouverts à la consommation de produits d’origine animale comme les œufs et les produits laitiers.alors que 90 % pensent qu’il n’y a pas de mal à manger de la viande. Voilà pour la vague vegan !
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Consommateurs préoccupés par les synthétiques
Les trois quarts (74 %) des Canadiens se disent également à l’aise avec les gens qui portent des vêtements ou des accessoires faits de cuir, de fourrure, de laine, de duvet ou d’autres fibres naturelles d’origine animale. (15 % ne sont pas « très à l’aise » avec de telles options, tandis que seulement 7 % des Canadiens disent qu’ils ne sont « pas du tout à l’aise » avec des matériaux vestimentaires d’origine animale.)
En fait, ce ne sont pas la fourrure ou d’autres matériaux vestimentaires naturels d’origine animale qui préoccupent les consommateurs, mais les synthétiques à base de pétrole. 83 % des Canadiens craignent que ces matières synthétiques, que l’on retrouve maintenant dans plus de 60 % de tous nos vêtements, ne se biodégradent. 86 % craignent que les fibres synthétiques polluent nos cours d’eau et empoisonnent la vie aquatique. 83 % sont préoccupés par les microplastiques dans nos aliments et notre eau.
VOIR AUSSI : Le grand enterrement de la fourrure. La vérité sur la fourrure.
En raison de telles préoccupations, la majorité des Canadiens (87 %) pensent maintenant que nous devrions nous efforcer d’utiliser moins de fibres synthétiques dans nos vêtements (58 %) ou de les éliminer complètement (29 %).
En fait, les deux tiers des Canadiens croient maintenant que la « mode éphémère » contribue à une crise écologique, et 60% des consommateurs pensent qu’une taxe environnementale devrait être appliquée à tous les matériaux vestimentaires non renouvelables, en raison de leur impact sur l’environnement !
Là encore, contredisant complètement les affirmations des militants, la majorité des consommateurs (77%) pensent que le cuir naturel est un plus durable sur le plan environnemental choix de vêtements que les synthétiques. Près des deux tiers (64 %) pensent également que la peau est un option plus socialement responsabletandis que 59% considèrent que la peau est un option plus éthique que les synthétiques.
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leçons importantes
En un mot, cette nouvelle recherche fournit des leçons importantes pour le commerce de la fourrure, l’industrie de la mode, les consommateurs, les politiciens et les médias :
1. L’industrie de la mode : Les concepteurs, les fabricants et les détaillants doivent écouter leurs consommateurs. Contrairement aux affirmations des militants, la plupart des consommateurs canadiens faire veut acheter et utiliser de la fourrure, du cuir, de la laine et d’autres produits d’origine animale, tant qu’ils sont produits de manière responsable et durable. En fait, les consommateurs d’aujourd’hui sont plus à l’aise avec des vêtements à base d’animaux produits de manière responsable qu’avec des vêtements synthétiques à base de pétrole.
2. Les politiciens: Cette enquête réfute les affirmations des militants selon lesquelles les Canadiens veulent interdire l’élevage de visons. En fait, plus de Canadiens ont une impression positive que négative de l’élevage de visons, et plus croient que l’industrie respecte le bien-être des animaux et la durabilité environnementale. L’enquête aussi discrédite complètement les affirmations des militants selon lesquelles le public souhaite l’interdiction de la vente de produits en fourrure. Bien au contraire, la majorité absolue des Canadiens croient qu’il est moralement acceptable de porter de la fourrure, plus des trois quarts étant d’avis que le port de la fourrure devrait être une question de choix personnel. (Le père de l’actuel premier ministre canadien, Pierre Elliot Trudeau, a dit un jour que « le gouvernement n’a pas sa place dans les chambres à coucher de la nation ». Il est temps de rappeler aux politiciens qu’ils ne devraient pas non plus être dans nos placards !)
3. Consommateurs : Ceux qui apprécient sa chaleur, son confort et sa beauté peuvent porter de la fourrure en toute confiancesachant que la plupart des Canadiens conviennent que porter de la fourrure est moralement acceptable, écologiquement durable et une question de choix personnel.
4. Moyens de communication: Avec cette enquête en main, les journalistes devraient cesser de donner un tour gratuit aux affirmations frauduleuses d’activistes selon lesquelles « les consommateurs n’acceptent plus que porter de la fourrure soit éthique », ou que « 80% des Canadiens veulent que cela soit fait ». Cette recherche montre clairement que ce sont les produits synthétiques à base de pétrole qui préoccupent les Canadiens et que la plupart pensent que la fourrure produite de manière responsable et d’autres matériaux vestimentaires d’origine animale constituent un meilleur choix environnemental.
5. Gens de la traite des fourrures : Cette recherche fournit une réponse puissante et opportune à la propagande anti-fourrure, mais n’est utile que si elle est vue par d’autres. Il appartient aux gens de tous les secteurs de la traite des fourrures – trappeurs, agriculteurs, concepteurs, fabricants et détaillants – de s’assurer que cette information importante est largement diffusée. Partagez ce résumé avec vos politiciens locaux et régionaux. Utilisez ces statistiques pour réagir chaque fois que vous voyez des mensonges militants dans les médias et pour rassurer clients, amis et voisins.
Le roman classique de Charles Dickens Un conte de deux villes Cela commence par la merveilleuse phrase : « C’était le meilleur des temps, c’était le pire des temps. » Cela décrit très bien la situation actuelle du commerce des fourrures. De toute évidence, l’industrie a été gravement endommagée par des décennies de harcèlement et de mensonges de la part des militants. Dans le même temps, la préoccupation croissante du public pour la protection de l’environnement offre une opportunité en or au commerce de la fourrure : lorsqu’il s’agit de vêtements produits de manière responsable et durable, la fourrure coche toutes les cases. Nous le savons depuis longtemps, et maintenant nous avons les statistiques pour montrer que de nombreux Canadiens le comprennent aussi.
C’est maintenant à tous les acteurs du métier de partager et de promouvoir cette importante nouvelle !
VOIR AUSSI : Un aperçu des coulisses du premier cycle de négociations pour un traité mondial sur les plastiques. Par Olivia Rosane pour EcoWatch, 9 décembre 2022.
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